Anecdotes

Un poème de jeunesse de Laborit rendu public plus de 80 ans après son écriture !

J’ai malheureusement peu de temps encore cette semaine pour mettre en valeur ici des documents fort intéressants que l’on m’a fait parvenir sur Laborit. Mais la session scolaire tire à sa fin et avec elle la plupart de mes contrats de conférence, donc j’espère pouvoir le faire un peu mieux bientôt. En attendant, je me contenterai cette semaine d’une simple chronique pour les « groupies » de Laborit. Il s’agit d’un poème écrit aux alentours de 1935 par un Laborit qui est donc alors au tout début de la vingtaine. Un poème d’amour écrit à une flamme de jeunesse, Irène, la fille d’une amie de la mère de Laborit. Ce poème m’a été envoyé par M. Frédéric Olive, le neveu d’Irène qui a retrouvé plusieurs poèmes et lettres de Laborit envoyées à sa tante !

Cherchant récemment à les mettre en valeur, M. Olive à googlé Laborit, est tombé sur Éloge de la suite et m’a contacté par courriel en m’envoyant déjà quelques poèmes. Il a par la suite eu la gentillesse de m’appeler pour m’expliquer moult anecdotes reliées à cette relation. Je mets de l’ordre dans mes notes suite à notre conversation téléphonique et vous reviens là-dessus d’ici quelques semaines, promis !

En attendant, vous pouvez cliquer ici pour lire les mots doux d’Henri à Irène…

5 réflexions sur “Un poème de jeunesse de Laborit rendu public plus de 80 ans après son écriture !

  1. Voyeurisme & indiscrétion.

    Quel rapport avec le travail d’Henri Laborit ?

    Et son slip, il était de quelle couleur ?

    Je vais me désabonner.

    • La poésie a occupé une place importante dans la vie de Laborit. Il pouvait réciter nombre de poèmes par coeur. Il en a beaucoup écrit au début de sa vie. Un peu comme pour la peinture, qui elle l’a accompagné toute sa vie. Cela fait partie, il me semble, du personnage multidisciplinaire qu’il a été, ne se cloisonnant en rien, même pas entre les arts et les sciences. Je vois alors mal comment on pourrait cloisonner ici les traces des innombrables activités. Quand à la teneur du poème, je dirais pour ma défense que l’amour est pas mal au centre de l’expression poétique, celle de Laborit en tout cas. Et pour la couleur de son slip, j’ai toutes sortes de réponses laboritiennes qui me viennent, mais je vous renverrai simplement à Copernic n’a pas changé grand-chose (où il en portait très peu d’ailleurs…). Avec mes salutations respectueuses…

      • Bruno,
        Votre réponse remplie tact et de bienveillance vous honore.
        Je profite de cette occasion pour vous remercier de ce travail d’archivage qui permet aux passionnés d’accéder à toutes ces ressources en quelques clics.
        Quant au slip de Laborit, je parierais sur un Petit Bateau en souvenir de ses aventures maritimes !
        Sincères salutations.

  2. Je voulais dire que produire ce type de poésie (?),
    c’est vraiment prendre Henri Laborot en objet.
    Et ça me défrise, désolé.
    &, bref, ça me désole.

    M.L.

  3. Un poème bien gentillet et touchant.
    Heureusement que de grands poètes nous ont laissé des livres entiers en lecture, et les lire c’est un peu s’en rapprocher.

Répondre à Vincent Tardan Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *